Un jeune Nigérian fracasse la tête de son bébé et accuse Satan

Benedict Anieze, un jeune Nigérian, a commis l’irréparable, en fracassant la tête de son bébé d’un mois contre le sol, le tuant sur-le-champ.

Au Nigéria, un jeune homme est poursuivi, pour avoir, prétendument, commis un crime horrible. L’individu, du nom de Benedict Anieze, est accusé du meurtre de son enfant d’un mois.

Selon le premier rapport de l’enquête, remonté par les médias locaux, le présumé coupable était chez lui, en compagnie de sa conjointe et de leur nourrisson, qui n’avait qu’un mois. Soudain, relate le rapport, l’homme commence par s’agiter, bizarrement, se saisit du bébé et le projette au sol, le tuant sur-le-champ. Les sources précisent que, pour dissimuler son crime, l’homme a incendié la demeure, avant de disparaitre dans la nature.

Dans un communiqué officiel, transmis à la presse locale, le porte-parole du Commandement de police de l’État de Lagos, SP Benjamin Hundeyin, a informé l’opinion publique que le suspect avait été retrouvé dans une localité de la région, où il avait été arrêté.

LIRE AUSSI: Mort d’Osinachi Nwachukwu: Son mari réagit à l’accusation et partage sa version de l’histoire

Selon SP Benjamin Hundeyin, cité par la presse, le suspect a reconnu les faits, qui lui sont reprochés, à savoir l’assassinat du nourrisson et l’incendie de la maison. Toutefois, Benedict Anieze a prétendu avoir agi sous l’emprise du diable. « Il n’y a pas eu de dispute entre lui et sa femme. Il a dit qu’il était possédé par des esprits maléfiques, lorsqu’il a fait tomber, sciemment, le bébé au sol. Il a, également, mis le feu à la maison, et s’est enfui. La femme a crié et, après avoir éteint le feu, ils l’ont amené à la police. La police l’a retrouvé plus tard. Le cadavre a été déposé à la morgue de l’hôpital général de Yaba. », a-t-il fait savoir.

LIRE AUSSI: Miss Monde: L’ivoirienne Olivia Yacé devant les tribunaux, les raisons

À en croire SP Hundeyin, l’affaire a été confiée au Département des enquêtes criminelles de l’État, pour une enquête approfondie.

Quitter la version mobile