Traque des trafiquants du passeport ivoirien : le parti de Gbagbo sort enfin du silence IVOIRE TV5
Publicité
Annonces
Publicité
ActualitéPolitique

Traque des trafiquants du passeport ivoirien : le parti de Gbagbo sort enfin du silence

Publicités

Justin Koné Katinan, a exprimé, jeudi 27 juillet 2023, son soutien au gouvernement dans la traque des fraudeurs et des trafiquants du passeport ivoirien, non sans rappeler la responsabilité du pouvoir dans la situation actuelle de l’état civil.

Publicités

Le gouvernement de Côte d’Ivoire a décidé de traquer les personnes soupçonnées d’acquisition frauduleuse de la nationalité et de trafic de passeports suite à l’alerte lancée par le Qatar concernant plusieurs ressortissants syriens qui détiennent des passeports ivoiriens.

Une démarche gouvernementale à laquelle le PPA-CI a clairement exprimé son appui à l’occasion de sa 20e Tribune. « Notre parti apporte son soutien au gouvernement dans cette traque », a déclaré le porte-parole de parti de Laurent Gbagbo.

LIRE AUSSI : Coup d’Etat au Niger: la Russie appelle à la libération rapide du président Mohamed Bazoum

Toutefois, Justin Koné Katinan a tenu à souligner que le gouvernement actuel, lorsqu’il était dans l’opposition, avait combattu toutes les réformes visant à assainir l’état civil ivoirien.

Publicité

« Le PPA-CI voudrait rappeler la responsabilité du pouvoir actuel qui, alors dans l’opposition, n’a eu de cesse de combattre toutes les réformes visant à assainir l’état civil ivoirien. Toutes ces réformes que nous avons engagées pour protéger l’état civil de Côte d’Ivoire étaient toutes frappées du sceau de la suspicion ou de l’épithète d’ivoirité », a retracé l’ex-ministre du Budget. « La conséquence : nous nous trouvons dans un pays où l’état civil se promène dans la rue », a-t-il ensuite déploré.

Publicité

LIRE AUSSI : Dj Congélateur et son manager portés disparus à Paris ? Toute la vérité

Annonce

Justin Koné Katinan a également rappelé que l’ivoirité avait été utilisée comme un prétexte pour s’opposer à ces réformes depuis l’époque de Bédié jusqu’à Gbagbo. Il a aussi souligné que « ces combats menés contre l’état civil ivoirien ont eu des conséquences néfastes, créant un système où des personnes peuvent avoir une liste électorale avec 500 enfants et où deux millions de personnes n’ont ni père ni mère ».

Publicités
Publicités
Publicités
Publicité
Annonce

Jean Camille H.

Je suis rédacteur, passionné de lecture et de découverte. Retrouvez mes articles sur IVOIRE TV5.

Articles similaires

Bouton retour en haut de la page
error: Content is protected !!