SK Global Investment : une ex-employée de Stéphane Kipré fait de graves révélations

SK Global Investment est l’entreprise du beau-fils de Laurent Gbagbo. Stéphane Kipré est accusé de devoir à son ex-employée.  

En effet, l’entreprise dirigée par son directeur général, M. Dalli Prince Arthur, doit de l’argent à leur ex-employée, KKE. 

L’ex-employée a vu son salaire diminuer sans motifs, après plusieurs plaintes auprès du directeur général afin de régler cette situation dont elle est victime, l’affaire est restée sans suite. 

KKE se confie et fait des révélations : “J’ai travaillé pour M. Stéphane Kipré au sein de son entreprise SK Global Investment, mais il a réduit mon salaire sans motif. Pourtant, il savait que j’avais des prêts bancaires liés à l’ancien solde”. 

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Poursuivant, elle affirme : “Depuis quelques jours, j’essaie d’obtenir mes droits en vain et qu’il me rembourse les créances de banques qui ont explosé. Le directeur de cette entreprise a eu pour cette affaire à me dire des paroles méchantes. Je l’ai supplié de me remettre mon ancien salaire, mais rien n’a changé. ” 

KKE a rendu sa démission pour cause de menace de la part de ses employeurs. Et, depuis ces jours, elle a des problèmes de santé liés à sa tension artérielle et a frôlé un AVC.

Face à cela, KKE souhaite qu’un avocat ou une autorité l’aide à obtenir justice contre l’entreprise de Stéphane Kipré, car elle a en sa possession les preuves de ses affirmations. 

Aussi, KKE rappelle qu’elle doit 22 millions à son créancier dans cette affaire qui l’oppose à l’entreprise. 

Notons également que KKE a intégré l’entreprise du beau-fils du président Gbagbo en octobre 2021. En septembre 2022, son salaire a été baissé. La pression morale et mentale l’oblige à rendre sa démission contre son gré. 

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Actuellement, sans soutien financier, KKE lance un appel à toute personne qui veut l’aider. 

Son but, c’est d’obtenir justice et remboursement des créances contractées sur la base de son premier contrat de travail qu’elle n’arrivait plus à payer. Ensuite, sur son second contrat sans résiliation préalable du premier et, ce depuis 11 mois.

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