Le nom de Laurent Gbagbo apparait de plus en plus parmi les soutiens du Mali dans l’épreuve qu’il traverse contre les sanctions.
Ces deux questions semblent légitime dans la mesure où dans cette situation, c’est de façon collégiale que les décisions de la CEDEAO ont été prises. Aucun président de pays membre ne s’est abstenu. Seulement à un moment donné le président Mohamed Bazoum s’est prononcé sur le fait que la fermeture des frontières n’est pas prévu dans le Traité de la CEDEAO.
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Le Mali dit rester ouvert à la négociation, la CEDEAO aussi. Seulement pour des questions d’égo, chaque partie campe sur sa position et la souffrance des maliens va s’amplifier si rien n’est fait. En attendant c’est le statut quo et les autorités maliennes cherchent d’autres partenaires en l’occurrence la Mauritanie, l’Algérie et la Guinée qui a très tôt offert ses services.