C’est à cet exercice que s’est livré Kouadio Konan Bertin dit KKB devant les médias en ligne membres du REPPRELCI.
Kouadio Konan Bertin a présenté plusieurs facettes de la réconciliation nationale, entre autres la justice et l’Etat de droit. Selon lui, la réconciliation ne signifie pas absence de justice. De même, elle doit s’exercer dans un État de droit.
La réconciliation c’est également tendre la main à ceux avec qui ont ne partage pas forcément les mêmes idéologies politiques. «Il faut voir dans ma démarche. Moi, je suis à l’origine Pdci Rda.
J’ai été nommé par le président de la République Alassane Ouattara. On étais opposé, il fait de moi son ministre. Moi, je nomme Eugène Djué comme conseillé. Est-ce que j’ai besoin de parler?
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Puis d’ajouter: «La réconciliation ne fait pas bon ménage avec la misère. Si tu as faim pendant que moi, je prêche la réconciliation et je suis le seul à manger matin midi et soir, tu ne peux pas m’écouter.
Moi, je nomme Eugène Djué, je donnes de l’espoir à tous ces anciens de la Fesci qui pensent qu’ils ne sont pas exclus du processus».
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