Mali : un plan tracé contre Assimi Goïta par cette puissante armée avec l’aide d’Al Qaida ?

Le Mali est bel et bien détenu par le gouvernement de transition dirigé par le colonel Assimi Goïta. La junte au pouvoir multiplie d’ailleurs les actions pour le contrôle total du territoire malien. Et donc, pas de panique !

« 2024, le Mali tombe aux mains des djihadistes » ; c’est le titre d’un scénario fictif imaginé par des chercheurs avec l’appui du média français L’Express.

Après le départ des soldats français du territoire malien et celui des forces l’ONU, plusieurs sont les observateurs qui ont indiqué que les soldats maliens ne tiendront pas longtemps face aux terroristes.

Des scénarios noirs ont été imaginés avec à la fin, un retour de l’armée française sur le territoire malien pour sauver le pays du K.O.

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Le plan de l’armée française au Mali en 2024

 

« Au Mali, vous l’avez rappelé. Le Khalifa islamique a été proclamé. Une filiale d’Al Qaida a renversé la junte au pouvoir. À l’Élysée derrière moi, tout est fait pour mettre en sécurité les diplomates français présents au Mali. Et puis, organiser le rapatriement de nos compatriotes. Le tout, vous l’aurez compris dans un climat extrêmement tendu », présentait le journaliste de L’Express dans un pseudo-reportage publié le 7 août 2023.

Le journal français s’est basé sur le travail des chercheurs pour représenter dans une série de vidéos les prévisions de l’armée pour 2024.

Selon ces prévisions, d’ici un an, le Mali sera totalement conquis par les terroristes. Il faudra alors l’intervention, une nouvelle fois, de l’armée française pour sauver le pays.

Dans les faits, cela semble plus difficile à entrevoir au vu des résultats encourageants acquis par la junte militaire en matière de sécurité.

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Il y a quelques semaines de cela, les forces armées maliennes ont repris le contrôle de la ville de Kidal, symbole de l’occupation du nord du pays par les djihadistes depuis 2012.

Certes, il reste encore une année pour vérifier ces hypothèses émises. Cependant, le bilan à mi-parcours semble démentir complètement les prévisions annoncées.

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