"La place de Soro est...", Tiken Jah réagit au retour du président du GPS IVOIRE TV5
Publicité
Annonces
Publicité
ActualitéPolitique

« La place de Soro est… », Tiken Jah réagit au retour du président du GPS

Publicités

Lors d’une récente entrevue, l’artiste engagé Tiken Jah a partagé ses observations pointues concernant le paysage politique en Côte d’Ivoire.

Publicités

Reconnu pour son franc-parler, cette figure emblématique de la musique a examiné de près des questions délicates, offrant ainsi une analyse critique de la situation actuelle.

En débutant, Tiken Jah a prodigué des conseils à l’égard des partisans du Président Alassane Ouattara, suggérant fermement : « Il est temps que ceux qui soutiennent le Président Ouattara lui recommandent de prendre du recul. Les grands hommes ont su partir. Lorsqu’on est au pouvoir, il est crucial de savoir transmettre le flambeau et de préserver les avancées réalisées pour son pays. » Cette perspective, teintée de sagesse, met en lumière l’importance d’une transition pacifique et de la préservation des acquis nationaux.

L’artiste, toujours soucieux du bien-être de la Côte d’Ivoire, a plaidé en faveur du départ à la retraite du président actuel. Poursuivant ses réflexions, Tiken Jah a exprimé que « Guillaume Soro devrait être en Côte d’Ivoire. Aucun Ivoirien ne devrait demeurer en exil. Aujourd’hui, je crois que les deux camps ont évolué. Si on me demandait, je recommanderais l’application d’une loi selon laquelle le plus jeune demande pardon au plus vieux et ce dernier accepte ce pardon. »

LIRE AUSSI : Sénégal : Karim Wade dépose sa candidature à la présidentielle

Publicité

L’artiste a aussi appelé à éviter toute régression et a exprimé son souhait que la période tumultueuse que traverse le pays se conclue par le dialogue. Pour lui, l’engagement des sages de la nation est essentiel, en particulier pour faciliter les demandes de pardon et leur acceptation dans un processus pacifique. « C’est lorsque vous quittez la Côte d’Ivoire que vous réalisez que nous avons un bon pays. Parmi les 3000 victimes de la crise post-électorale, on compte moins de 10 personnes appartenant aux rangs des dirigeants des partis politiques », a-t-il ajouté, mettant en évidence l’impact tragique mais restreint des leaders politiques dans cette tragédie.

Publicité

Annonce

Publicités
Publicités
Publicités
Publicité
Annonce

Jean Camille H.

Je suis rédacteur, passionné de lecture et de découverte. Retrouvez mes articles sur IVOIRE TV5.

Articles similaires

Bouton retour en haut de la page
error: Content is protected !!