Tina Glamour a reçu la convocation périodique du BURIDA relativement aux taxes que les espaces de loisirs sonorisés doivent payer.
Là-dessus, Tina Glamour a jugé injuste que pour juste une minuscule télévision et un hoofer, on lui tende une convocation.
Son coup de gueule a été tonitruant : ‘’…le BURIDA, payez nos droits à temps, là on va avoir le temps de payer vos taxes-là. La personne qui est venue, je connais ton nom, petite télévision et un hoofer, on m’envoie une lettre, moi Tina Glam’s, de payer le BURIDA…’’.
Pour Lady Glam’s, des espaces de loisirs et autres maquis, il y en a tellement à Abidjan qu’elle s’étonne que ce soit son ‘’Desaltero’’ qui soit la cible du BURIDA :
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‘’…pardonnez, ne venez pas au Desaltero, ma télévision, c’est une petite télévision, mince,…et puis si j’ai des millions, j’ai pas envie de payer…des choses qu’on doit payer en trois mois, on ne nous paye pas…’’.
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La révolte de l’artiste ne s’inscrit pas véritablement dans un refus catégorique. Pour l’artiste, il est important que le BURIDA soit diligent dans le paiement des droits d’artistes car c’est de cet argent que non seulement ces derniers vivent mais surtout pour ceux qui ont des espaces de loisirs comme elle, c’est de cet argent que sort celui des taxes à payer. Pas vraiment compliqué à comprendre.