Cette fois-ci le dirigeant extrémiste isrelien ne peut pas compter sur ses alliés européens, eux-mêmes les grands et premiers architectes de la “maudite Cour”, qui lui en veut tant.
Du coup il ne reste qu’une seule option pour “Bibi”, celui d’appeler le vieux Biden, pour tenter de convaincre de faire reculer le procureur Anglais, né de parents pakistanais.
L’affaire qu’on sentait depuis plusieurs semaines venir, a été véritablement mise au grand jour hier par les journaux israéliens, alertés par leurs dirigeants alarmés et paniqués.
larmés.
Le média américain Axios rapporte que le Premier ministre Netanyahu a téléphoné au président Biden pour lui demander de l’aide afin d’empêcher la Cour pénale internationale (CPI) d’émettre des mandats d’arrêt contre des responsables israéliens à propos de l’effroyable guerre à Gaza.
Deux responsables israéliens anonymes auraient déclaré que l’appel téléphonique avait eu lieu dimanche dans un contexte d’inquiétude croissante quant à la possibilité que de hauts responsables soient traduits en justice internationale pour l’attaque qui a tué des dizaines de milliers de civils palestiniens.
L’information donnée par ’Axios intervient après que Reuters ait rapporté que les procureurs de la CPI avaient interrogé le personnel des deux plus grands hôpitaux de Gaza au sujet d’éventuels crimes commis à Gaza.
Plus de 300 corps ont été découverts dans les fosses communes de l’hôpital Nasser après le retrait des forces israéliennes le 7 avril.
Les États-Unis sont hypocrites face à l’enquête de la CPI sur les crimes de guerre israéliens à Gaza, selon la Russie
La Russie affirme que les États-Unis font preuve d’hypocrisie en s’opposant à l’enquête de la Cour pénale internationale (CPI) sur Israël, mais en soutenant leur mandat d’arrêt contre le président Vladimir Poutine.
La CPI – qui peut accuser des individus de crimes de guerre, de crimes contre l’humanité et de génocide – enquête sur l’attaque du Hamas et sur l’attaque militaire dévastatrice d’Israël contre Gaza, qui en est maintenant à son septième mois.
« Washington a pleinement soutenu, voire stimulé, l’émission de mandats d’arrêt de la CPI contre les dirigeants russes », a déclaré la porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, Maria Zakharova, dans un message sur Telegram.