Les pourparlers visant à libérer les otages enlevés dans la bande de Gaza le 7 octobre en Israël n’ont “jamais été aussi proche d’un accord” et semblent être dans une phase avancée, selon un représentant du Qatar, qui agit en tant que médiateur.
Un accord entre Israël et le Hamas n’est pas à exclure. Selon le porte-parole du ministère qatari des Affaires étrangères, Majed Al-Ansari, les négociations se trouvaient dans une “phase finale”, et les deux belligérants n’ont “jamais été aussi proches d’un accord”.
“Nous n’avons jamais été aussi proches d’un accord”, a déclaré ce mardi Majed Al-Ansari, ajoutant que les négociations avaient atteint une “phase finale”.
Le Qatar est optimiste quant à sa capacité de négocier la libération de nombreuses autres personnes retenues en otage dans les jours à venir. Cependant, il reconnaît que la possibilité d’une incursion terrestre israélienne dans le territoire palestinien de Gaza rendrait la mission beaucoup plus ardue malgré la patience et la persuasion envisagées.
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L’armée israélienne a revu à la hausse le nombre de personnes retenues par le Hamas. Tsahal dénombre désormais 224 otages, comme l’a expliqué un porte-parole à plusieurs médias israéliens et internationaux. Le Hamas chercherait à retenir les militaires israéliens qu’il a enlevés dans l’espoir de les échanger contre des Palestiniens détenus dans les prisons d’Israël.
L’annonce d’un possible accord intervient alors que l’armée israélienne poursuit sans répit son offensive contre le Hamas dans le nord de la bande de Gaza. Une offensive qui a récemment conduit à l’encerclement du camp de réfugiés palestiniens de Jabaliya, le plus grand de la région, abritant 116 000 réfugiés.
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Le gouvernement de Gaza a signalé que, depuis le début de la guerre le 7 octobre, environ 13 000 Palestiniens ont été tués dans les bombardements israéliens sur la bande de Gaza. Ces chiffres incluraient tragiquement 5 500 enfants. Du côté israélien, on estime qu’environ 1 200 personnes ont perdu la vie.
