Guillaume Soro a réagi à la situation politique au Niger. L’ancien Premier ministre a déconseillé l’option militaire, appelant à la poursuite du dialogue entre les différentes parties.
Réunis le 10 août à Abuja sur la situation au Niger, les Chefs d’État et de gouvernement de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) ont décidé d’activer la force en attente. Les chefs d’état-major des Armées de la sous-région ont été instruits d’activer leurs contingents prêts à intervenir au Niger en dernier recours.
Une approche qui inquiète plusieurs personnalités et acteurs politiques dont Guillaume Soro. Dans un communiqué, l’ancien Premier ministre ivoirien s’est opposé à l’usage de la force militaire, appelant à la poursuite du dialogue entre les parties. “L’emploi de la force militaire ne doit pas être une option à considérer”, a plaidé le leader de Générations et Peuples solidaires.
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“Dans le droit fil des pères fondateurs de la CEDEAO et tout en marquant ma solidarité au peuple du Niger, j’exhorte toutes les parties à privilégier la discussion, le dialogue et la diplomatie pour un retour à la paix”, a conclu Guillaume Soro.
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Une réaction qui intervient quelques heures après la décision du CNSP d’ouvrir la porte au dialogue avec les Chefs d’État et de gouvernement de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO).
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