Violente bagarre entre Ténor et Eunice Zunon, Hayek Hassan prend parti et condamne l’acte de Ténor et de son manager.
C’est un fait choquant qui a ébranlé toute la toile ivoirienne. Une vidéo présentant une violente scène de bagarre est devenue virale.
Elle impliquait le couple Teunice, c’est-à-dire l’artiste camerounais Tenor et l’humoriste ivoirienne Eunice Zunon. Comme tous les internautes ayant visionné le film, Hayek Hassan décide à son tour se s’exprimer sur le sujet.
En effet, le couple Teunice est réputé pour ses nombreux buzz incessants. Comme il était de coutume, la plupart des internautes ont émis l’hypothèse d’un probable buzz, chose qui a été démentie par le «vagabond de la charité». Pour ceux qui pensent que c’est un buzz, sachez que ce n’est pas un buzz. J’ai eu Eunice, je connais Eunice.
Ça fait déjà un mois que chacun est parti de son côté. Celui qui a filmé la scène, c’était quoi l’idée de base ? a déclaré le bienfaiteur. Dans un direct émis le jour du buzz, il a condamné l’acte du manager qui a filmé et conservé la vidéo au lieu de séparer la bagarre. Pour lui, c’est un acte déplorable et immature.
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Normalement, une personne qui voit deux personnes se brutaliser ne prend pas son téléphone pour filmer, mais il se lève pour pouvoir séparer. Selon lui, cette vidéo filmée il y a un mois environ a été mise au grand jour dans le but de nuire à l’image de Eunice Zunon.
La relation étant terminée il y a plus d’un mois, c’est une stratégie mise en place par le Manager de Ténor pour la déstabiliser. C’est un acte lâche de la part de Ténor et de son manager, car tout porte à croire qu’il s’agit d’un coup qui a été monté en vue d’exposer Eunice. Le chevalier de l’ordre et du mérite ivoirien a terminé ses propos en indexant Ténor pour son acte «d’ingratitude » vis-à-vis de sa dulcinée, qui malgré les sombres chapitres de son existence, a été toujours présente pour lui tendre main forte. Cette vidéo vient sonner le glas de cette relation.
Qu’il s’agisse d’un buzz ou pas, une chose est sûre, ni les ivoiriens, ni les camerounais ne voudront à nouveau de cette relation.