Lors d’une conférence sur la sécurité en Allemagne ce jeudi 16 février, Le président français s’est prononcé sur l’actuelle crise qui mine l’Ukraine.
Pour lui, il est temps d’agir face à cette menace de la Russie, car l’heure n’est plus au dialogue. Cette décision peut lui coûter cher vue l’attitude de Vladimir Poutine.
Le plus jeune président français préfère rester droit dans ses bottes face à la fureur de Poutine et son armée. Pour lui, l’heure n’est pas à la négociation vue l’intensité de la guerre. Il faut soutenir sans recul l’Ukraine pour le bonheur de l’Europe.
« Nous devons absolument intensifier notre soutien et notre effort pour aider à la résistance du peuple et de l’armée ukrainienne et leur permettre de mener la contre-offensive qui seule permettra des négociations crédibles aux conditions choisies par l’Ukraine et ses autorités ».
A reconnu celui qui a longtemps tenté de conserver des canaux de discussion avec le président Vladimir Poutine, s’attirant parfois de vives critiques de pays européens, Ukraine en tête.
Il a vu que le chemin de la négociation voulu était vain. Il voulait apaiser les tensions par le canal du dialogue, mais cette entreprise n’était pas sans conséquence. «L’heure n’est pas au dialogue parce que nous avons une Russie qui a choisi la guerre, qui a choisi d’intensifier la guerre et qui a choisi d’aller jusqu’aux crimes de guerre et à l’attaque des infrastructures civiles ».