État de santé de Blaise Compaoré jugé très inquiétant : son frère fait des révélations

Nous avons les dernières nouvelles sur l’état de santé de l’ex-président burkinabé Blaise Compaoré annoncé très inquiétant et de son frère François qui manœuvrerait pour se rendre à son chevet à Abidjan, la capitale ivoirienne.

Récemment, le média français Jeune Afrique publiait des informations alarmantes sur l’ancien président burkinabé Blaise Compaoré. À en croire le confrère, l’état de santé de l’homme politique est très préoccupant et il s’affaiblit de jours en jours.

Toujours selon le média panafricain, l’homme âgé de 72 ans souffre d’hydrocéphalie, un mal qui provoque des troubles neurocognitives et qu’au vu de la situation, son frère cadet François Compaoré mène actuellement des démarches auprès des autorités françaises pour se rendre à Abidjan à son chevet.

Mais des informations publiées par NetAfrique viennent prendre à contre-pied celles données par J.A.

En effet, le média burkinabé qui cite des sources bien introduites soutient que « le Président Compaoré se porte bien et même très bien. Depuis son dernier contrôle au Qatar, sa santé connaît une nette amélioration. »

Partant, l’information selon laquelle M. François Compaoré, soupçonné par la justice burkinabè d’avoir joué un rôle dans le meurtre du journaliste Norbert Zongo en 1998, serait à la manœuvre pour rentrer en Côte d’Ivoire afin de voir son frère gravement malade, a été démolie.
« Quant à Monsieur François Compaoré, lui et ses soutiens n’attendent qu’une seule chose : que le droit soit dit dans toute sa rigueur, et que la Cour Européenne des Droits de l’Homme mette fin à la cabale politico- judiciaire montée de toutes pièces contre lui. En effet, depuis octobre 2017, date de la demande d’extradition, les avocats de Monsieur François Compaoré n’ont eu de cesse de dénoncer les vices de procédures, les faux témoignages et les faux en écriture publique contre leur client.
Aujourd’hui, le caractère politique de la procédure d’extradition n’est plus à démontrer. Il est grand temps d’y mettre un terme en permettant à François Compaoré de recouvrer sa liberté de se déplacer et qu’il puisse se rendre où bon lui semble. L’injustice et l’incurie ont assez duré. », a publié le confrère.

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