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Trois semaines après la découverte de la prétendue éruption volcanique survenue le 17 mai 2023, à une distance de 1,5 km de la sous-préfecture de Guéhiebly, la psychose règne toujours.
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Linfodrome nous livre les informations sur ce qui s’est passé sur le site de la prétendue éruption trois semaines plus tard. En effet, le 17 mai 2023, nous avons appris que Guéhiebly avait connu une éruption volcanique.
Depuis, les spécialistes en géologie ont multiplié les visites sur le site afin de déterminer la véritable origine de ce phénomène.
Les premières images diffusées montraient une larve noire sur les lieux de « cette catastrophe naturelle ». Une autre équipe d’experts est arrivée à Guéhiebly environ trois semaines plus tard, le 9 juin 2023.
« Le vendredi 9 juin, aux environs de 14 h heures, des gens, visiblement des experts, sont venus avec une machine sur le site de ce qu’on a appelé depuis « éruption volcanique ». Cette délégation était conduite par professeur Coulibaly Alassane, professeur à l’université Félix Houphouët-Boigny d’Abidjan. Il y avait aussi des membres de l’Office national de la Protection Civile (ONPC), des gendarmes et des agents de la direction des mines de la région du Guémon », a rapporté une source proche du dossier.
Selon la source, lors de cette visite, l’engin qui a décapé l’endroit et enlever le poteau qui aurait été fendu par la supposé éruption volcanique. « Lors du décapage, on a remarqué que la roche est toujours chaude. Le lendemain (10 juin 2023, ndlr) la même machine est venue et elle a encore extrait les larves noires et les mêmes matières qui avaient déjà été retirées du sol au début. Avant de partir, l’équipe a versé de l’eau dans le trou d’où sont sorties les larves et l’eau est devenue chaude sur-le-champ.
Que se passe-t-il pour que l’eau soit chaude même bientôt un mois après ? Franchement, on veut comprendre », a achevé l’informateur. Il est important de noter que le chef du village de Blah Gbela avait déclaré que les habitants du village avaient besoin de l’aide de l’État de Côte d’Ivoire, car ils avaient des plantations dans la zone de l’éruption volcanique présumée. La psychose règne toujours dans la localité et les questions continuent de se poser sans réponse concrète.
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