Le jeudi 15 juin 2023, la justice a rendu sa décision pour deux policiers accusés du meurtre en 2019 d’un élève au lycée de Dimbokro lors de manifestations pour les congés anticipés.
Trois ans pour l’un et six mois pour l’autre. « En 2019, pendant le phénomène de congés anticipés, il ya eu mort d’homme au lycée de Dimbokro.
Une jeune fille en classe de seconde a été atteinte mortellement par balle. Le MIDH a suivi l’affaire avec ses avocats et a soutenu la famille.
LIRE AUSSI : Affaire réfugiés burkinabè en Côte d’Ivoire : les dernières précisions du gouvernement Ivoirien
Le procès a eu lieu hier (Ndlr, jeudi 15 juin) » , informe Bamba Drissa, le président du Mouvement ivoirien des droits humains (MIDH), joint au téléphone par des journalistes de 7Info.
Le 11 décembre 2019, la mort de cet élève de seconde avait été signalée. Elle avait été tuée par une balle alors que les élèves protestaient contre les congés anticipés de Noël.
LIRE AUSSI : Côte d’Ivoire : Guillaume Soro crée une commission de formation au GPS
Rappelons que le commissaire du gouvernement de l’époque, Ange Kessi, s’était personnellement rendu sur les lieux pour faire la lumière sur le crime.
« Il y a eu un homicide involontaire et le policier qui a tiré un écopé de trois ans d’emprisonnement ferme. Il a été mis sur mandat de dépôt automatiquement.
