Les ivoiriens proches de l’opposition se demandent de savoir s’ils pourront faire véritablement confiance aux hommes politiques de Côte d’Ivoire.
Le magazine panafricain Jeune Afrique révèle les raisons pour lesquelles l’ancien ministre et président de la formation politique de l’Union pour la démocratie et la paix en Côte d’Ivoire (UDPCI), Albert Mabri Toikeusse aurait rallié le Rassemblement des houphouëtistes pour la démocratie et la paix (RHDP) après l’avait quitté.
De ce que nous avons appris, le magazine panafricain Jeune Afrique présente les mobiles qui ont fait revenir de nouveau le président de l’Union pour la démocratie et la paix en Côte d’Ivoire (UDPCI), Albert Mabri Toikeusse au sein du Rassemblement des houphouëtistes pour la démocratie et la paix (RHDP). « Ce dernier n’a posé aucune condition à son ralliement, d’abord motivé par ce qu’il estime être un manque de solidarité au sein de l’opposition.
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En effet, bien que disposant d’un groupe parlementaire, l’Union pour la démocratie et la paix en Côte d’Ivoire (UDPCI) ne siège pas au bureau de l’Assemblée nationale, sans que cela n’émeuve les autres partis d’opposition. », indique Jeune Afrique dans un premier temps avant détailler le motif.
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« De plus, Henri Konan Bédié, le président du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI), nourrit encore de la rancune contre l’UDPCI, fondé par le général Robert Gueï, qui l’a renversé par un coup d’État en décembre 1999. », explique-t-il en avançant un autre argument assez explicite selon lui.
