Deux agents de sécurité dans la garde rapprochée de l’ex-secrétaire d’État ivoirien aux Affaires maritime sembleraient être impliqués dans une histoire de braquage.
En effet, cette histoire qui défie encore la chronique dans le grand ouest, n’est pas sans provoquer un véritable scandale dans la sphère politique selon les opinions de Fernand Dédé.
Ce 15 mars 2023, les deux individus paraissent avoir été mis aux arrêts suite à une attaque armée sur l’axe Duekoué-Bangola, dans le village de Gueyibli.
S’exprimant sur ce fait, l’ancien secrétaire d’État aux affaires maritimes, président de conseil régional du Guemon, n’a pas manqué de crier son ras-le-bol et son mécontentement : « La politique est laide dans le Guemon (…) Mes adversaires politiques s’attendent à une nomination et ils veulent me salir. En quoi, suis-je responsable de l’attitude des êtres majeurs », s’énerve-t-il.
Les individus identifiés sont deux jeunes majeurs qui sont notoirement connus dans la région, d’une part, comme des membres de la sécurité du président du Conseil régional du Guemon et d’autre part comme des caïds, membre de la pègre locale.
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Aussi, lesdits bandits semaient régulièrement la terreur dans la région par des actes de vandalisme et de braquage, cependant « intouchables du fait de leur proximité avec le premier responsable de la région. »
Le président du Conseil régional a expliqué que ces deux garçons font partie des jeunes identifiés et resocialisés après la crise armée dans la région.
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Notons que cette situation délicate crée beaucoup d’émule chez la population : « Des gens qui sont reconnus comme braqueurs. Ils terrorisent la population pendant qu’ils sont dans ta garde rapprochée. Comment tu peux accuser tes adversaires politiques », colère d’une ressortissante de la région.
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