Toute ivre après avoir célébré son anniversaire, une jeune fille s’est fait passer pour une personne atteinte de Covid-19 pour échapper à un viol de la part de son voisin. La scène s’est produite au Cameroun.
La pandémie du coronavirus ne fait pas que du mal, elle sauve des innocents des situations inhumaines. A quelque chose, malheur est bon, dit-on.
Ne sachant à quel saint se vouer et dans l’incapacité de se défendre, une jeune fille a su se défaire de son agresseur sexuel par une fausse argumentation liée à la pandémie du coronavirus. Selon Camer.be, la jeune de 29 ans et emportée par son ivresse après la célébration de son anniversaire, serait passée à côté d’un viol par son voisin.
Ayant constaté que la jeune dame était ivre, le jeune homme voulait à tout prix profiter de cette aubaine pour la violer. Alors, il va pointer sur sa cible, un couteau devant l’obliger à se taire et à renoncer à tous appels au secours. Mais, elle va sans grand effort échapper à celui-ci par de simpless morts qui pèsent lourds. La jeune fille fera recours Covid-19, pour se sauver.
« Je suis actuellement un traitement au Covid-19 ! Maintenant, si tu veux me violer, tu es libre. Je t’aurais prévenu ». Ce sont ces propos qui ont servi à la jeune fille, la trentaine environ, un passeport diplomatique, lui permettant de circuler librement. A travers ces mots, le jeune agresseur était pris de peur et a tranquillement laissé passer sa cible sans bruit ni tapage, puis remonte légèrement sa culotte qu’il aurait déjà descendue pour accomplir son forfait. Il va ensuite remercier son Dieu de l’avoir épargné de la pandémie par cet acte totalement gratuit.
Si la pandémie du coronavirus était une maladie qui ne tue pas et qui ravage tout sur son chemin, l’on n’aurait voulu qu’elle reparte, juste pour freiner les actes inhumains qui se font constater quotidiennement.