Le gouvernement du Burkina Faso annonce l’ouverture d’une enquête sur des accusations visant l’armée.
Elle est soupçonnée d’avoir commis des crimes contre des civils le 9 novembre.
Les faits remontent au 9 novembre. Ils concernent le 14e Régiment Interarmes de Djibo (nord), qui « aurait tiré des obus sur les villages de Holdé, Yaté, Ména et Dabere-Pogowel, situés à environ 10 km du camp militaire », selon une note du Haut Commissariat des Nations unies aux droits de l’homme (HCDH) adressée au gouvernement du Burkina Faso.
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Face à ces accusations, le gouvernement burkinabé décide d’ouvrir une enquête sur ces accusations.