Affaire h@rcèlement s3xuel au CNE : Un proche du dossier dévoile toute la vérité !

L’affaire deffrait la chronique. Mme Kessi Dexter Maryline épouse Aka a dans une vidéo sur Tik Tok accusé le secrétaire général du CNE d’h@rcèlement.

Selon cette dernière aurait été renvoyée du (CNE) à Abidjan (Côte d’Ivoire) parce qu’elle n’aurait pas cédé aux avances de son patron. Accusations démentis formellement par la CNE. Pour éclaircir l’affaire, des confrères ont pu soutirer quelques détails de l’affaire auprès d’un proche du dossier. Voici sa version des faits.

Mme Dexter Marlyne a publié une vidéo sur le réseau social Tik Tok dans laquelle elle déclarait avoir contacté des hauts dignitaires de l’État Ivoirien pour résoudre son problème mais que l’affaire était restée sans suite :« Mon refus a déteint, on sait ce que c’est.

De manière psychologique, tu souffres parce que tout ce que tu feras pourra ou peut être interprété comme une sorte d’insubordination » a-t-elle expliqué. De fait, elle accuse Mr Serge Martial Bombo, le secrétaire général du CNE, de l’avoir virée parce qu’elle n’aurait pas accédé à ses avances.

« J’ai alerté parce que je sentais venir la chose, j’ai alerté le président de la République, le Premier ministre également, la Première dame et le courrier a été envoyé au ministre du Commerce. 

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Mais vous savez ce qui s’est passé ? À la fin, j’ai quand même été licenciée en violation flagrante du droit du travail parce qu’à partir du moment où un employé dénonce un h@rcèlement abusif, un harcèlement s3xuel ou un h@rcèlement moral, on ne peut même plus licencier la personne », a-t-elle argumenté. «< Ce que je veux dénoncer à travers cette vidéo, je veux me faire le porte-voix de ces victimes. C’est le fait que toutes les victimes de harcèlement s3xuel qui n’ont pas le courage, qui n’ont pas ce courage de venir dénoncer, elles sont laissées pour compte. Aujourd’hui, moi en tant que victime, je me retrouve coupable, accusée, h@rcelée, acculée, mais je garde la tête haute », a-t-elle déclaré, utilisant des termes particulièrement durs contre son désormais ancien employeur.

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