Entre l’activiste et homme politique ivoirien Koukougnon Christ Yvon et le groupe zouglou VDA, le torchon brûle. Les raisons.
Leur “bagarre” sur la toile vient de la controverse sur la sortie, le week-end dernier, de l’artiste Debordo Leekunfa qui, au détour de sa prestation au maquis l’internat, s’en était pris aux artistes maliens.
Sommé de stopper sa prestation par Aimé Zebié le propriétaire des lieux, des passions étaient nées relativement à cette affaire qui avait mis dos à dos les internautes.
Quoiqu’ils aient sorti un single de rapprochement et de réconciliation avec le Mali, VDA avait aussi publié un message de soutien à Aimé Zébié: ” une fierté pour la Culture ivoirienne “. C’était suffisant pour déclencher l’ire de Johnny Patcheko pour qui les deux garçons manqueraient à l’appel du patriotisme. Il les avait donc sévèrement clashés dans un direct.
Mais Jim et Pitch qui n’entendent pas se laisser piétiner ont donné la riposte quelques heures plus tard:
“…champion, nous on peut mourir avec toi…ce qui nous donne à manger, on ne peut jamais laisser quelqu’un nous piétiner, on va jamais laisser quelqu’un mettre du sable dedans…”.
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Pour les zougloumen, il ne s’agit pas ici d’être des va-t-en guerre en tirant sur le promoteur de spectacles qui a par ailleurs été décoré par la grande chancelière pour le travail qu’il accompli pour la culture.
Le dossier des 49 soldats étant aux mains des autorités compétentes pour une suite qu’on espère satisfaisante, Johnny Patcheko devrait se conformer à cela.
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“…toi ce que tu as apporté à la Côte d’Ivoire-là, tu vas venir nous dire ça , champion, tu peux pas trafiquer quelqu’un…”.
Signalons que VDA, dans le cadre d’une sortie de crise, a sorti un single intitulé ” môgô kélé” appelant les autorités des deux pays à des négociations diplomatiques.
