Alassane Ouattara, rejette une fois de plus les accords maliens pour la libération des 46 militaires ivoiriens toujours détenus au Mali.
En effet, le Mali semble se servir de ses « otages » afin de mener un véritable « chantage », pense-t-on côté ivoirien.
L’espoir d’une probable libération des 46 militaires ivoiriens détenus au Mali meurt de jour en jour. Ces derniers ne seront pas libérés de si tôt avec la tournure que prennent les évènements.
Fin Octobre dernier, le Mali en passant par le Togo, pays médiateur, avait relancé les négociations avec les autorités ivoiriennes. Un document top secret avait été transféré à Abidjan.
Il était sûr et certain que ce document contenait les « exigences maliennes » pour la libération des 46 soldats ivoiriens emprisonnés au Mali et accusés d’être des mercenaires depuis le 10 Juillet 2022.
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4 mois après et malgré les « sans délai » prononcés en cascade par le président ivoirien, Alassane Ouattara, la situation ne semble pas avoir avancé d’un iota.
Voici quelques conditions jugées inadmissibles par les autorités ivoiriennes, refusant catégoriquement les accords maliens afin de permettre une remise en liberté des dits soldats :
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🔴 La signature d’un « Pacte de non-agression » qui reviendrait pour Abidjan à reconnaître les accusations de «déstabilisation » contre la Junte malienne d’Assimi Goïta.
🔴 Le document énumère également plusieurs blocages d’ordre économique au sein de la Banque Centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO) et de la Banque Ouest-Africaine de Développement (BOAD).
Bamako par la personnification d’Assimi Goïta, réclamait surtout le départ du vice-président malien de la BOAD, Moustapha Ben Barka soupçonné d’être à la solde du président Alassane Ouattara qui fait tout pour obtenir son maintien…
