Affaire Baltasar Ebang Engonga : voici ce que risquent tous ceux qui ont partagé les vidéos

Le scandale de la sextape impliquant Baltasar Ebang Engonga a déclenché une vague de mesures répressives en Guinée équatoriale, les autorités s’engageant à prendre des mesures non seulement contre les auteurs de la fuite, mais aussi contre les personnes qui ont partagé ou téléchargé les vidéos.

Le gouvernement de Guinée équatoriale s’est donné pour mission d’identifier toutes les personnes impliquées dans la diffusion de ces enregistrements sensibles, intensifiant ainsi la pression sur tous ceux qui ont interagi avec le contenu. Le visionnage ou le partage de ces vidéos peut entraîner de graves conséquences, notamment des peines de prison.

En réponse à la fuite massive de plus de 400 sextapes, les services de renseignement de Guinée équatoriale ont lancé une enquête agressive. Le scandale, impliquant Baltasar Ebang Engonga, une personnalité influente au sein de l’administration du pays et membre de la famille présidentielle, a secoué le paysage politique et l’opinion publique.

Cette semaine, les efforts des services de renseignement auraient été intensifiés, les autorités recherchant à la fois les sources originales et toute personne impliquée dans le partage des vidéos. Les forces de l’ordre du pays ont été mobilisées pour retracer les empreintes numériques sur les plateformes de médias sociaux et d’autres canaux où ces vidéos ont été diffusées.

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